Marie-Noel Labrecque vient de s’offrir le titre de championne du monde de duathlon (ITU) à Edinburgh ce week-end. Les canadiens David Frake (40-44) et David Field (55-59)et Linda Lemay (65-69) s’offrent aussi le titre.
Marie-Noel Labrecque vient de s’offrir le titre de championne du monde de duathlon (ITU) à Edinburgh ce week-end. Les canadiens David Frake (40-44) et David Field (55-59)et Linda Lemay (65-69) s’offrent aussi le titre.
Dans le volet élite ou participatif?
on dit plus elite et AG. Mais oui, c’est dans la catégorie amateur.
Je trouve simplement que le titre de champion du monde est un peu galvaudé, surtout lors de cette compétition!!! Pour s’inscrire dans les AG il suffit simplement de se procurer le « kit » de triathlon Canada($$$) et payer son inscription, « that’s it »… Aucun temps de qualification demandé! Il y a aussi le voyage à Edinburgh qui dilue la qualité du peloton.
L’an dernier par exemple, à Concord NC, Dans le AG femmes 40-44: 28 participantes, 19 américaines, 7 canadiennes et 2 autres… Aucunes européennes!!!
Finalement bravo pour la course, sans aucun doute, mais pour le titre de champion du monde, mmmm à prendre avec un jolie grain de sel!
Yannick, je suis totalement d’accord avec toi. On critique très souvent Kona et même Clearwater de s’être auto proclamé championnat du monde, mais cela reste les compétitions avec les plateaux les plus compétitifs.
Pour les championnats du monde ITU. Je tiens à dire que j’ai énormément de respect pour leur travail. Je crois que les championnats du monde, c’est avant tout une façon de concurrencer Ironman… mais qui veut dépenser autant d’argent pour aller faire une course de 2h???
En même temps, je me suis recemment rendu compte que c’était exactement la même chose en velo de piste, athlètisme, etc… les championnats du monde en amateur, cela ressemble plus à qui veut payer pour…
Par contre, je préfère ne pas être narcissique avec ceux qui font bien dans ces compétitions parce qu’il y a un désir d’être compétitif etc… et de se mesurer aux meilleurs.
Pour répondre à vos commentaires, je sais très bien que le titre de « championne du monde » ne veut pas dire grand chose. Je sais aussi que n’importe qui (ou presque) peut y aller. Il suffit de se classer dans sa fédération respective (ce qui n’est pas une tâche très ardue, on s’entend) et hop, on est partis pour les championnats du monde. Peu importe, moi j’allais là pour me mesurer à des filles plus fortes, pas pour me péter les bretelles. C’est d’ailleurs pourquoi je suis revenue au Québec sans trompettes ni tambour (aussi parce que tout le monde s’en fous, de toute manière) et que ça n’a pas changé grand chose dans ma vie. Une médaille de plus dans le sac de médaille et peut-être une belle histoire à raconter à mes kids, sans plus.
Alors s’il vous plait, un peu de respect… je sais pertinemment qu’il y a probablement plein de filles meilleures que moi ne se sont tout simplement pas inscrites aux Championnats du monde, mais de là à me rabaisser parce que j’ai gagné dans mon groupe d’âge, c’est pas d’un grand respect de votre part… franchement, vous auriez pu être un peu plus sympathiques.
Peu importe vos réactions, je continuerai à m’entraîner fort et à me faire mal, parce que j’aime ça, pas pour recevoir des éloges.
Je retourne à mes entraînements, il me reste Clearwater en attendant la off season…
Allo Marie Noel, désolé pour certains commentaires, ils ne te sont pas attribués, et honnètement, tu n’as pas besoin de te justifier, comme je le disais en conclusion, on n’a pas la droit de critiquer quelqu’un qui souhaite se mesurer a un plateau plus competitif. Mon but dans l’article n’était pas de manquer de respect au contraire, c’est important que plus de québécois participent a ces compétitions.
Moi aussi, je fais Clearwater, et je connais très bien le discours général, donc oui je te comprends très bien…