To race bicycles is to drink greedily from a bottomless chalice of agony.
Tiré de la dernière édition de la prestigieuse revue The Walrus, cet article souligne The Pain Princicple : pour réussir dans le monde du cyclisme professionnel, on doit souffrir. Beaucoup.
Mais dans un pays où il n’y a de la place que pour le hockey, les autres exploits sportifs doivent être prêt à vivre dans l’ombre des Crosby.
À lire absolument. Voici un extrait qui résume très bien l’article:
No other sport demands the same time, pain, and work ethic. You cannot race a Grand Tour without being in supreme physical shape, so fit that you are actually eating yourself, and must consume the same amount of food and liquid as nearly three grown men — which amounts to about 6,000 calories a day — to stay alive. During a warm weather race, a cyclist will lose three kilograms, and must chug five litres of restorative liquid, or it’s game over. (Try that twenty-one days in a row.) Cycling doesn’t have a bench. It doesn’t have time outs. The boys don’t celebrate a good day’s racing at a Hennessy-sponsored nightclub.
«The boys don’t celebrate a good day’s racing at a Hennessy-sponsored nightclub» BOOOOOOMMMMMM!!!! Voilà ce qui enlève tout la crédibilité des sports comme le baseball, basketball, hockey et football. Si ça serait si dur que ce qu’ils le disent pourquoi est-ce que c’est athletes ne vont pas dormir au lieu d’aller veiller en club à tout bout de champs! Merci Hesjedal!!!
Oui et non. Certains cyclistes du ProTour aiment bien lever le coude après une belle victoire. Mais c’est souvent en sortant de l’hôtel en cachette à l’insu du directeur sportif. S’ils se font prendre, des mesures disciplinaires sont souvent appliquées. Comme c’était le cas d’Andy Schleck et de Stewart O’Grady quand la nouvelle d’Alberto Contador (positif pour Clenbutérol) est sortie durant la Vuelta d’Espania 2010. Andy : « Dude! Je viens de gagner LE Tour par défaut! Faut fêter ça. » Ils se sont fait prendre et Riis leur a dit Ciao messieurs… Vous n’êtes pas des joueurs de hockey!
JC : La force d’une bonne équipe est bien plus que l’addition des forces de chacun de ses joueurs… la cohésion est primordiale! d’où certaines pratiques qui pour un triathlète peuvent parfois paraître comme un manque de professionnalisme mais qui en réalité peuvent être nécessaires à la performance de l’équipe…
Au niveau de Hesjedal, le cyclisme est un sport d’équipe au même titre que le baseball, basket, etc.