C’était ce week-end > Gala Triathlon Québec.

Cela peut paraitre étonnant, mais c’était mon premier Gala de Triathlon Québec. On se félicite d’avoir comme éditeur adjoint, l’entraineur de l’année et la triathlète longue distance de l’année (Annie Gervais), qui porte nos couleurs sur son mollet droit.

On félicite aussi l’organisation de cet événement. La soirée fut vraiment agréable. Pierre Svartman a réussi à animer cette soirée qui était presque trop bien remplie! On n’a vraiment pas vu le temps passer avec cette famille.

Sans que cela soit un reproche, Trimes aurait aimé voir plus de prix. On aurait voulu que le Triathlon Coteaux des Lacs soit récompensé dans la catégorie, plus grosse prise de risque.

On souhaiterai aussi une catégorie acteur pour le développement du sport. C’est difficile d’avoir un gala ou quelqu’un comme Raymond Paris qui ne recoit aucun crédit pour son travail auprès de son groupe junior dont tout le Canada nous envie.

Même si cela n’est pas envisageable, Trimes souhaite souligner le commanditaire de l’année selon nous. Une personne comme JF Perron a énormément donné avec Teschner et HED cette année. Évidemment, nous sommes proches de lui, on n’est peut-être mal placé, mais la réalité est que pratiquement aucune marque au Québec n’offre des « vrais » aides à ces élites, et il y a encore beaucoup de mentalités à changer.

Trimes se donne aussi un prix, parce que c’est comme ca, mais on ne sait pas se catégoriser non plus.

Sans aucun doute, ces acteurs connaissent leur rôle et leur importance. Les choses changent vite dans le triathlon québécois, il ne faudrait pas les oublier.

petit note : Il y a eu un commentaire sur le fait que je regrettais que certains clubs organisaient leur party de début de saison en même temps. En fait, c’est faux, puisqu’il y en a qu’un seul. Je tiens a dire cela. Évidemment, le gala de triathlon québec, n’est pas fait pour que tous les triathlètes de la province soit là. Par contre, les décideurs, oui. De ce fait, organiser un événement en même temps donne ce message que triathlon Québec n’est pas important. On est d’ailleurs passé par là, avant, je ne donnais pas beaucoup d’importance et c’est à force d’évoluer dans ce sport qu’on se rend compte de son importance. On a appris, et tout le monde peut apprendre.

1 commentaire
  1. Vous avez raison de souligner le travail de Raymond Paris C’est toujours difficile de reconnaître nos meilleurs.Les félicitations et les honneurs sont donnés seulement à ceux qui montent sur le podium Olympique mais avant d’arriver à ce but ultime, il y a tellement d’entrainements.
    Et c’est grâce à nos entraineurs que les jeunes accomplissent leurs défis et leurs rêves. Alors pourquoi ne pas vouloir reconnaître le travail passionné d’un entraineur et ces athlètes en dévellopements qui ont démontré au Canada que le Québec peut aussi développés des athlètes de au niveau pour les années à venir.