La lutte contre le dopage est très complexe puisque certains athlètes n’hésitent pas à utiliser des produits qui n’ont jamais été commercialisés. Et dans le merveilleux monde de la WADA (AMA) pour déclarer un cas positif, il faut absolument reconnaitre la molécule et l’associer à un laboratoire. Cela signifie qu’on peut détecter la présence d’EPO mais il faut s’assurer qu’elle est bien de synthèse et non naturelle. Dans le doute et l’impossibilité d’associer une molécule à un labo, le cas sera négatif. Est-il nécessaire de vous dire qu’un labo illégal ne soumet pas son EPO à la WADA et cela ralentit le processus d’identification. La rumeur dit qu’il existe ce style de labo en Chine et en Russie.
La WADA déclarera l’athlète suspect et espérera que le passeport biologique et les contrôles inopinés révélerons des trop grandes irrégularités.
Récemment, la WADA a averti les athlètes qu’elle a pris connaissance de l’utlisation d’un produit sous le doux nom de GW501516. Elle a donc lancé un avertissement, surtout qu’elle considère cette substance comme dangereuse.
Fait important, le laboratoire derrière ce produit (GSK) l’a abandonné à cause de sa concentration en toxine et des tests cliniques non approuvés. Cette substance est disponible pour des tests sur les animaux. Proche du AICAR, elle permettrait de réguler le brulement de vos gras. En traduction, vous perdez du poids et gagner en muscle. Elle se vend selon la WADA uniquement sur le marché noir. Selon nos recherches, elle se vend librement puisqu’elle disponible pour des utilisations dans des applications de recherche. Si vous pensez que le dopage est cher et compliqué, faites quelques recherches sur google…
Ce qui est nouveau est que la WADA dévoilera sous peu des cas positifs au GW501516. Cela signifie donc que l’agence est pro-active et a trouvé une façon de la détecter.
Bingo, un russe vient d’être attrapé. Il a le gout d’avoir le cancer rapidement lui!