Ce que nous avons appris > Chpt Europe Junior ETU Alanya.

 

La britannique Georgia Talylor-Brown a réussi à conserver son titre de championne européenne. Évidemment à distance, il est assez difficle de comprendre la dynamique de course sauf qu’elle enregistre à quelques secondes les trois meilleurs splits et cela nous rappel les fameux Brownlee…

Et badaboom, Georgia Taylor-Brown est aussi originaire de Leeds. Si tout ce monde venait du Kenya, on dirait que la génétique est de leur bord, mais la vrai réalité est que les structures en place fonctionne très bien et qu’ils ont développé une certaine culture. Sans aucun doute, Georgia Taylor-Brown peut se baser sur Non Stanford pour savoir qu’elle est dans la bonne direction ainsi que les Brownlee avec qui elle partages des camps d’entrainement.

Et encore une fois, on retrouve ce type d’athlète très complet qui ne permet plus aux autres de revenir de l’arrière. Cette philosophie est la recette du succès non pas des britanniques mais du groupe de Leeds.

Il faut aussi souligner que leur développement est beaucoup plus précoce que les autres écoles de triathlon. Est-ce que ces athlètes risquent d’avoir des carrières plus courtes? Est-ce qu’ils sont tout simplement plus confiant parce qu’ils profitent d’entrainements avec des groupes plus forts?

Si on prend les résultats des françaises, on remarque que de manière générale, elles n’ont pas été en mesure de suivre les meilleures cyclistes. À l’exception de Leonie Periault qui sort avec 20s de retard, Mrgot Garabedian et Jeanne Lehair se sont faites décrocher sur le vélo. ont chuté durant le vélo.

Comme Les Brownlees le disent si bien, ils veulent avant tout être des nageurs, cyclistes et coureurs.

C’est malheureusement une constatation récurante.

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Chez les hommes, le doublé français montre que l’école francaise qui à l’habitude de former d’excellent nageur a très bien fonctionné. L’avance des nageurs leur a permis de s’assurer de rentrer en T2 avec un avance suffisante pour éliminer une bonne partie des concurrents.

Ce qui demeure assez fascinant c’est la qualité des coureurs. Les 15 premiers courent en dessous de 16 minutes. Et Dorian Coninx court en 15:04.

D’un point de vue canadien, on continue à penser que les européens ont vraiment une longueur d’avance sur l’Amérique du nord puisqu’ils ont la chance de courir avec des plateaux très compétitifs et cela explique justement qu’ils sont généralement plus prêt pour faire la transition en élite puisqu’un junior qui a du succès est plus représentatif des exigences qui retrouvera en élite.