Trimes, fier d’avoir contribué au succès de la nouvelle campagne vidéo FFTRI

Faut qu’on vous dise…


[Cynthia]

Plus de 30 000 vues et 500 partages sur la dernière vidéo FFTRI en une 1/2 journée, un succès auquel Trimes n’est pas étranger…

Vous êtes déjà nombreux à avoir apprécié le duo Jessica Harrisson et sa copine Géraldine dans la nouvelle série de vidéos « Le jour où », destinée à faire connaitre plus largement le triathlon. La fédération, et plus particulièrement Fabienne Lordet, Carole Péon et Steven Le Hyaric, ont fait confiance à Quitterie pour imaginer cette nouvelle campagne.

Et oui, je dois bien dire que je suis très fière de ma collègue et complice qui a pensé, inspiré et mené ce projet, en portant haut les valeurs de notre sport!


[Quitterie]

J’entends souvent dans mon entourage que le triathlon est « un sport de dingues » ! Qu’il faut être fou et un peu masochiste pour se lancer dans ce type de sport…

C’est le premier préjugé auquel la fédération de triathlon a voulu s’attaquer à travers sa série « Le jour où ».

Mais est-ce à dire – a contrario – que le triathlon est un sport facile ?

Non. « La terre nous en apprend plus long sur nous que les livres. Parce qu’elle nous résiste. L’homme se découvre. » (saint Exupéry).

On pourrait reprendre cette citation pour l’appliquer au triathlon.

Parce qu’il nous résiste. Parce qu’il nous demande d’aller chercher au plus profond de nous même des ressources que nous ne soupçonnions pas, le triathlon nous en apprend plus long sur nous que les livres.

Cette résistance est propre à chacun, à son niveau de forme et à ses capacités.
Ce sera de terminer un « découverte » à 50 ans pour certains, de se lancer sur son premier « Distance Olympique » pour d’autres, de relever le défi d’un Ironman ou de chercher à corps perdu une qualification pour Kona, de décrocher une sélection olympique ou un billet pour la grande finale de Cozumel….

J’aime plus que tout, sur une course, voir un athlète se battre. J’aime le voir lutter. C’est un dialogue intérieur entre raison et passion. Entre volonté et abandon.

La difficulté du triathlon réside là où nous plaçons le niveau de nos exigences envers nous même. Vaincre nos propres limites, voilà la réelle difficulté du triathlon mais également le secret du plaisir infini qu’il nous donne.

 

1 commentaire
  1. Oui…Disons que c’est moins pire que le pôvre « José » …….
    Si ça peut faire rentrer des sous et aider clubs et organisateurs…….