Petite bombe pour le milieu du triathlon, dans les vingt nouveaux cas que le groupe russe Fancy Bears vient de rendre publics, on y trouve Alistair Brownlee.
Comme nous l’avons déjà mentionné, une AUT (autorisation d’usage à des fins thérapeutiques) n’est pas forcément synonyme de dopage, mais il existe actuellement une culture où certains athlètes détourneraient le système afin de pouvoir utiliser légalement des produits qui sont pourtant prohibés.
Pour le double champion olympique, son dossier révèle une administration de l’acétazolamide (2013). C’est une substance utilisée entre autres en cas d’épilepsie, de glaucome ou de mal des montagnes. Il est aussi considéré dans la famille des diurétiques (masquant).
Fait important, la AUT a été administrée alors que la fin de la saison de la série mondiale était terminée (octobre 2013). Sachant qu il préparait l’ascension du Kilimanjaro, tout semble cohérent. Rien à voir, circulez!
Donc, ce n’est surement pas le cas qui mettra en danger le double champion olympique.