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La légende du marathon Ed Whitlock est morte à l’âge de 86 ans

Sa famille de Whitlock a indiqué qu’il avait succombé à un cancer de la prostate dans un hôpital de Toronto. Cette annonce a été une véritable surprise pour la communauté puisqu’il avait couru le 16 octobre dernier le marathon de Toronto dans un temps de 3:56:38.

Né au Royaume-Uni, Whitlock résidait à Milton en Ontario. Il est devenu le premier septuagénaire à courir un marathon sous la barre des trois heures. Il avait réussi l’exploit à 72 ans à Toronto, en 2003, avec un chrono de 2 h 59 min 10 s.

Un an plus tard, il a abaissé cette marque à 2:54:49.

Il a éventuellement établi des marques mondiales chez les 75 ans et plus, 80 ans sur différentes distances. Ed Whitlock avait l’habitude de s’entrainer dans un cimetière et n’aimait pas particulièrement l’intention que les médias portaient sur lui. Sa passion pour la course à pied malgré son âge était selon lui, simplement normale.

La vie est souvent remplie d’ironie. Hier, La Presse dévoilait que l’auteur Ultra-Ordinaire qui encourageait les québécois à courir pour se rendre à leur travail et à se lancer dans l’Ultra marathon ne courrait plus, qu’il n’y trouvait plus de plaisir.

L’histoire presque banale d’une personne qui avait trop donnée et qui n’était plus en amour. Ce personnage publique avait pourtant su séduire des sponsors, donnaient des conférences etc… Ses raisons de son arrêt restent valables, mais n’oublions pas dans tout cela que des athlètes élites courent plus de 70km à toutes les semaines pendant presque 20 ans et ne profiteront jamais de la couverture que Joan Roch à pu recevoir…


Quand on dit que les vélos modernes agissent comme des voiles. Voici le sort de quelques cyclistes lors d’une course Sud Africaine…


On embarque sur le vélo avec Xavier Grenier-Talavera


Il est désormais possible de télécharger une étude de Asker Jeukendrup sur la prise de glycogène durant l’exercice. Ce papier est particulièrement intéressant puisqu’il contient des recommandations pour les triathlètes soit le type et la quantité de glycogène à prendre. 


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