Dans les très rares cas positifs sur le circuit Ironman, deux athlètes étaient tombées en février dernier pour la même substance soit l’Ostarine. Ce produit toujours au stade expérimental dans la catégorie des SARMs permet de réparer les muscles plus rapidement, mais aussi de bruler plus facilement les gras.
Même si la triathlète américaine, Lauren Barnett avait réussi de démontrer la contamination de ses suppléments, elle avait tout de même reçu une suspension de 6 mois. Selon l’information du Dallas News, elle a décidé de poursuivre la compagnie Classified Nutrition. Barnett avait acheté le produit Neurolytes dans un magasin spécialisé en triathlon.
Selon les tests en laboratoires, une capsule de sel contenait environ 150 nanogrammes. Cela est d’autant plus surprenant que ce type de produit est généralement pris durant une course dans le but de réduire de réduire les risques de crampes.
Avant sa suspension, Barnett était sur une série gagnante qui a pratiquement durée un an sur le circuit Ironman.
Depuis la compagnie a été placé dans la catégorie « à risque » par l’agence antidopage américaine ».
Dans l’opération, Barnett a perdu Ironman Racine sur le tapis vert, mais dans la poursuite, la pro américaine réclame des dommages sur sa réputation et pour sa perte de revenus.
Tout cela vient nous rappeler qu’il n’existe pas de produits inconnus… On ne sait pas trop ce qui pourait motiver une marque à ajouter des substances expérimentales dans ses produits…