Dans ce mini documentaire clairement à la faveur de Zwift, on y découvre Kristian Blummenfelt et Gustav Iden chez eux. Ce reportage payé par Zwift a au moins le mérite de nous éclairer sur leurs manières de faire ainsi que leurs visions du sport. Si leurs succès sont souvent expliqués par une approche très scientifique, c’est pourtant le plaisir qui semble dominer leur motivation du toujours plus.
Est-ce la faute des norvégiens? Avec leur approche à jouer avec les règlements, on va voir de plus en plus d’athlètes répliquer cette approche. Cette fois-ci, c’est Lucy Charles Barclay qui s’y colle.
Tout cela est à prendre avec des pincettes parce que les gains seront infimes, et cela fait aussi peur parce que cela va développer une croyance que sans moyen, on part déjà avec un désavantage. L’UCI, la World Athletics a bien compris les enjeux avec l’équité. Ironman devra un jour réagir et commencer à instaurer des limites.
Dans la seconde vidéo, on y voit toujours Lucy mais cette fois-ci, on la voit chez Asics, dans leur laboratoire japonais. Comme on vous l’a déjà mentionné, plusieurs études ont démontré une très grande variabilités dans les gains entre les différentes super chaussures. Contrairement aux croyances, il n’y a parle de chaussures magiques qui marchent pour tout le monde, il est donc important de toutes les essayer. À nouveau, le danger c’est que les super-stars du triathlon se fassent développer des chaussures spécialement pour eux. En Ironman, une marque n’est pas obligé de commercialisée la chaussure. Il suffit de répondre aux exigences techniques et elle sera alors considérée comme une chaussure de développement.