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Discussion surréaliste à mon club de Maitres…
– moi : T’ira voir mon blog
– lui (semaine suivante): Hey, mon ami qui fait des ironmans et qui habite au Minnesota connaissait ton blog!
– moi : À cool (ton déabusé, mais qui faut plutôt interpréter comme, wow on est big).
– lui : Tu regarderas sur youtube, avec des amis on a monté le mont Ventoux avec des Velib.
– moi : QUOI! C’est toi!

Mr a un t-shirt bleu.

Bon nous venons de passer du Trance au Metal.

C’est lui! Filip Ospaly. Il est le seul homme qui peut se vanter d’avoir battu Raelert et Macca durant un 70.3 (St. Polten). D’ailleurs c’est le seul 70.3 qu’il a fait cette saison. Le prochain est Clearwater… tiens tiens! Disons qu’il a du trouver Kona particulièrement intéressant.

Cette homme a beaucoup de gout. Kiwami vert fluo. Il doit être un Trimeux 2011 sans le savoir!

The day is done, the fight is over, some would say I lost, but the battle was won. I fought hard out there all day, took the risks to try and win and the day did not go as planned. I may have lost the ultimate prize of becoming world champion, but I pushed through some of the most difficult times in my professional career and came home with the prize of top American.

I arrived here to win this race, not to finish 2nd or 3rd so I took the risk early on the 112-mile bike portion and pulled away from the rest of the field. Riding under my own pace and energy in the gusty and hot conditions, I separated myself from the main group of contenders by almost 8 minutes as I began the 26.2-mile run. I was in the perfect place and feeling great, or at least as good as you can feel after riding 112 miles.

Through the first 8 miles of the run I was feeling great rolling along and holding my lead. At that point my body started to tighten up and I went from running smooth and free to locking down and my legs were not responding to what my mind was asking for. The heat started to increase my core temperature and I felt like I had entered an oven. The radiant heat on the road was reaching 120 degrees and my body started to shut down. I remember running on the highway at around mile 13 and having to stop at an aid station as I felt my body about to completely shut down.

Once I stopped, my body could not balance itself as I wobbled from side to side; I was shaking my head trying to wake up my body. My eyes and focus started to get very narrow and dark and I felt as if I was about to fall over and pass out. I stood there in front of a table full of water, Coke, and Ironman Perform and started drinking as much as I could. I must have put down a Big Gulp amount of fluid. I stood there taking ice-cold sponges and drenched my body trying to get my core temperature to drop.

After a few minutes of doing this, I finally felt my body responding and I had to try and push through. At this point I lost my lead and was looking at the new leader in front of me. All I could tell myself is that it is not over yet and never give up. I made myself push on and push hard, anything can happen and there is still a long way to the finish. I was running well and holding my place, but that painful cycle kept creeping in as I fought through the marathon. Dealing with the repetitive routine of keeping my body awake and moving I finished the day in 11th place and top American.

I lost the victory I was searching for, but I fought through some of the most difficult times in my career. I pushed through the challenges and stretched my body beyond what I thought I could pick myself up from and still finished well. Chris McCormack took the 2010 Ford Ironman World Championship title and battled well as always. He is an amazing talent and I congratulate him.

I am doing well now and my body is starting to come around. My legs are still sore and it is difficult at times to even step down off a curb or bend down to pick something up off the ground. In the next day or so my legs and body will feel back to normal, but it takes many weeks for the body to fully recover from that kind of effort. When you put everything out there and ask so much of the body it takes a long time for it to rebuild. You have to repair the muscle damage and get your mineral balance and body reserves back up.

Pour lire le reste c’est ici

L’avènement de l’aluminium, puis du carbone dans la construction des vélos révolutionna l’industrie du cyclisme en construisant des vélos plus rigide et plus légers pour moins cher. Le problème avec tout ça c’est qu’il s’avère qu’un tube plus mince mais plus gros est plus dure à plier et est moins lourd, ce qui entraîne aussi plus de drag. Oui oui, du drag, ce germe ingrat que l’on tente d’éliminer de nos vies à tout prix. C’est pour cela que les vélos de time trial avec des tubes en gouttes d’eau existe, ce qui était impossible avec l’acier. Mais il s’avère qu’un tube de plus faible rayon se rapproche pas mal plus de la goutte d’eau qu’un Specialized tarmac gros comme un aqueduc. Bien sur c’est quand même loin du fil mais on comprend le principe. (Photo d’un prof du M.I.T.)

« Alors il veut en venir où le fou qui vante l’acier depuis tantôt? », à ça:

Un vélo de contre la montre custom par English cycles, spécialistes des vélos en acier avec des pièces hors de prix. D’autres photos:

Notez les freins aeroldschool qui doivent pas freiner du tout et un guidon qui part de la fourche. Magnifique.

C’est un bizarre de truc quand à moi de vouloir encore courser avec un vélo en acier, mais je ne doute pas des performances de cette machine. Je reste toutefois vendu au carbone à 100%.

Hugo

Malgré les récentes annonces de Polar/Look et le rachat de Metrigear par Garmin, disons que vous risquez d’attendre encore longtemps.

On avait découvert que des Allemands travaillaient très fort pour sortir des alternatives dont Power2max. Pour résumer, c’est un système pédalier très semblable au Quarq. La batterie est changeable par vous même.

Le système doit être vendu 690euro + pédalier, soit le système le moins cher du marché. Nous étions en contact avec le constructeur. Il nous expliquait que le système était prêt mais que c’était la disponibilité des pièces qui faisait défaut et qui retardait la sortie.

Et ce matin, un petit email… NOW IT’S GETTING SERIOUS > sortie début décembre pour les médias! On va l’avoir la puissance!

Petit rappel: le système ne sera pas vendu en Amérique du Nord à cause de la réglementation de la FCC (le produit doit être validé avant d’être commercialisé).

Enfin personne ne vous empêche de passer par vos liens européens pour vous le procurer.

Durant Kona, WTC a annoncé timidement à un certain groupe de pros qu’il implantait le fameux passeport biologique de la WADA. Les tests seraient désormais sanguin et urinaire.

Certains ont même fait un rapprochement entre cette annonce et le désistement de Chrissie Wellington et ils ont tous simplement terminé crucifié sur la place publique.

Rappel: Il ne faut jamais oublier que WTC (World Triathlon Corporation) appartient à un groupe financier et ce n’est pas une fédération. L’implication de la WADA (world anti doping agency) est pour maintenir sa crédibilité.

Je fais une fixation sur cette vidéo.  Samuel Wanjiru. Champion Olympique à Bejing, victoire aux marathon de Chicago et de Londres…

Cette dernière version de Kona pourrait être un tournant pour certains athlètes. une nouvelle façon d’aborder les commanditaires?

Premier exemple flagrant, le speedsuit. Cette année, le néoprène était interdit, j’étais d’ailleurs convaincu que personne n’allait utiliser de speedsuit (combinaison pour la natation), bah non. Tous les commandités par Under Armour, K-swiss, Orca etc… n’avaient pas accès à une suit rapide dans l’eau. Alors on a vu des Terenzo Bozone ou Macca porter une amphibiam 008. Une tenue qui est faite pour faire l’intégralité d’un triathlon. Jordan Rapp fait des ironman avec en portant un speedo en dessous.

Tout le monde vous parlera de Craig Alexander, de son vélo, de son casque, de ses chaussures, et de sa fuel belt. Si tout le monde est obsédé par son propre poids, alors pourquoi porter une fuel belt? Est-ce qu’il a perdu 6 minutes à cause de son équipement? J’espère que non.

Et Macca? Début de la course, la Fuel Belt est bien là (SANS BOUTEILLE, SA SERT À QUOI?!!!!) et fin de la course plus de ceinture, abandon de matériel… >DQ.  D’ailleurs, il ne porte pas de dossard, un autre DQ!

Ben voila, une fois de plus, apparemment, c’est le nerf de la guerre … il n’y a pas de sous !

L’OAT (Ontatio Association Triathletes) vient de decider de ne PAS organiser le triathlon pour les prochains Jeux de l’Ontario.

Voir ici

Pourquoi sommes-nous decus ? Eh bien une des principales raisons d’etre  d’un organisme provincial, c’est de trouver, preparer et supporter la future generation. Et en Ontario (et CB), il y en a bcp …
En Ontario, nous sommes aussi une des plus grandes provinces avec un membership consequent et bcp de courses affiliees qui generent du revenu, mais mysterieusement, il n’y a pas de sous pour cette epreuve.

Nos jeunes devront donc se trouver une nouvelle source de motivation « olympique »

Dommage